Lors de son mandat présidentiel, François Hollande était conseillé par Agnès b. Ce mardi 5 mars, la créatrice s’est confiée avec tendresse et amusement sur le relooking de l’ancien président de la République, qui avoue lui-même qu’il était “un cas difficile”.
C’est une drôle de confidence qu’a livrée Agnès b. Ce mardi 5 mars, Antoine de Caunes était aux commandes d’un nouvel épisode de Popopop sur France Inter, lors duquel il recevait la créatrice de mode. L’occasion de faire intervenir… François Hollande. Et pour cause, comme le rappelle l’animateur, pendant son mandat présidentiel, Agnès b. « l’a conseillé, aidé et influencé vestimentairement ». François Hollande a donc tenu à adresser quelques jolis mots à la styliste. « Pour le vêtement, elle avait beaucoup à faire parce que c’était un cas particulièrement difficile», reconnaît avec humour le compagnon de Julie Gayet.
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Pas que quoi effrayer Agnès b. « Elle m’a dit d’être moi-même, ce qui finalement a été la bonne manière de réagir », assure le prédécesseur d’Emmanuel Macron, avant d’expliquer : « C’est-à-dire de porter des vêtements qui me convenaient et des cravates qui tombaient bien – ce qui n’était pas toujours le cas – et des chemises qui me paraissaient être aussi blanches que possible mais aussi souples que nécessaire ».
« Je suis allée à l’Élysée lui refaire les ourlets »
Outre cet aspect purement professionnel, François Hollande semble garder un très bon souvenir de sa rencontre avec Agnès b. « Elle m’a donné des conseils avec comme but de parler d’autre chose que du vêtement. C’est-à-dire de parler de ce qu’elle faisait, de ses engagements, de ses passions, de ses créations et de ce qu’elle pouvait rendre aux autres tout ce qu’elle avait reçu grâce à son talent ». Une confidence qui a beaucoup touché la principale intéressée, qui admet néanmoins que François Hollande était bel et bien un « cas difficile ».
Ainsi, la créatrice se souvient avec tendresse et amusement qu’il « avait un manteau trop court, peut-être trop serré, la cravate de travers », etc. Et de raconter : « Je suis allée à l’Élysée lui refaire les ourlets, il y avait une petite estrade pour qu’il monte dessus et pour que je puisse faire les ourlets à la bonne longueur. La salle d’essayage à l’Élysée, il y a des miroirs et tout ». Une chose est certaine : Agnès b. est heureuse et fière d’avoir collaboré avec l’ancien chef de l’État. « Il était adorable, c’est quelqu’un que j’admire et que j’aime beaucoup », conclut-elle.
Crédits photos : Bestimage